Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Bien sure des erreurs peuvent s'etre glissé sur cette page, n'hésitez pas a combler si vous voyez qu'il manque quelques agences, comme vous pouvez le voir, il y en a une multitude, bien sure , j'ai retirer les adresse, numero de tel et leur filiation entre elle si il y en a , je ne veux en aucun cas etre responsable de harcelement ou de favoritisme envers ces differentes agences, bien sure aussi je pourrait vous eguiller si vous ne trouvez pas votre bonheur.
1 2 3 INTERIM
3G
3S
ACMG
ACTIV INTERIM
AFITECH INTERIM
AIDINTER DITO
AILE MEDICALE
AJC
AJPM
AKELA
ALARYS IDF
ALLO CHAUFFEUR AST
ALTERNIUM
ALTIS
AQUENT PARTNERS
AR MEN TRAVAIL TEMPORAIRE
ARCHIBAT INGENIERIE
ARCHIBAT SERVICE
ARPEGE
ARS EUROPE INTERIM
ASSISTRA INTERIM
ATEA 92
ATEXIS
AULNAY INTERIM
AXENTIA
BA INTERIM
BEPA
BETECH - ASSISTANCE TECHNIQUE
BGI
BIP
BPS INTERIM
BREF SERVICE
BS INTERIM
BUSYBEE
BVI
BWO - BRAIN WORK OFFICE
C2T SERVICES
CARELEC INTERIM
CHALLENGE INTERIM
CHARRETTE SERVICE
DECLIQ INTERIM
DELTA INTERIM
DEMENAGEMENT PRESTATIONS SERVICES
EASY'S
EFFECTIF - SOGEDIS
EFFISCIENCE
EXPRESS INTERIM SERVICE
ELP INTERIM
ELS INTERIM
EMPLOI 93
ENERGIE INTERIM
ENTHALPIA PARIS ILE DE FRANCE
EPEC TRAVAIL TEMPORAIRE
EPITECH
EPSILON
EQUIPE - SOGEDIS
ERIME
ESCALE INTERIM
ETOILE SERVICES
EURETUDES TRAVAIL TEMPORAIRE
EUROLABOR
EUROP TECHNOLOGY
EUROSOURCES
EUROSTART
EVS INTERIM
EXCELLENCE AIRPORT
EXELTEAM
EXOS INTERIM
EXPECTRA
FIRST INTERIM
FIVA
FORCE INTERIM IDF
FRIGO DRIVER
GD INTERIM
GEM FRANCE
GITEC TRAVAIL TEMPORAIRE
GR INTERIM
GROUPE CRIT
GROUPE PARISIEN DE SERVICES
GROUPE RSI
HELP INTERIM
HEXA PREST
HIGH-TECH-INTERIM
HORS CLICHES
HOTESSE INTERIM
IDE CONTACT
IMS
INDUSTRIE INTERIM SERVICES
INGENIERIE PERFORMANCE
INSTEAD INTERIM
INTER INFORMATIQUE PACT INTERIM
INTERIM
INTERIM COIFFURE ET BEAUTE
INTERIM MEDICAL SERVICE
INTERIM N 3
INTERIM NATION
INTERIM QUALITE.FR
IPEC ASSISTANCE
ISI
JBM
JOB CENTER
JPSI
KELLY SERVICES
KOBAL TT
KSI
LA PRESTATION INDUSTRIELLE
LA SOLUTION INTERIMAIRE
LABORIM
LANCRY INTERIM
LEADER INTERIM
LES CHAUFFEURS DE FRANCE
LES JEUNES TECHNICIENS
LFP - L OFFICE FRANCAIS DE PRESTATION
LTD INTERNATIONAL
MAGINTER
MANDRIVER
MANPOWER
MANTRANS
MAXIPLAN
MAYDAY TRAVAIL TEMPORAIRE
MB SERVICES
MBI FRANCE
MCS INTERNATIONAL
MEDICAL 77
MINERVE
MISSION INTERIM
MODELOR
MSL
NG SERVICES
OBJECTIF EMPLOI (rien avoir avec le journal^^)
ODYSSEE TRAVAIL TEMPORAIRE
OMEGA INTERIM
OPTIMA TT
ORDINTER
OTI
OTS SAS
PAGE PERSONNEL
PARTNER INTERIM
PENAUILLE INTERIM
PIMENT INTERIM
PLUS INTERIM
PRATIC MAN FRANCE
PRESTICER
PROGRESSIS
PRO-TECH
PROTEMPO
PTF INFIRMIERES
QUICK (rien avoir avec le magasin)
R2T
RANDSTAD INTERIM
REGITRA
REMAT
RESTAURIM SFOH SA
RIVERCHELLES
RLC TRAVAIL TEMPORAIRE
ROBERT HALF
SCARUS
SEPTEM
SFRH
SINTEL
SIT INTERIM
SOCIETE NOUVELLE FOMAT
SODY
SOFRAMAT
SRDTT CHRONOS
SUD EST SECRETARIAT
SUD INTERIM
SYNERGIE
SYSINTER
TAG SYSTEM INTERIM
TAURUS INTERIM FRANCE
TECXELL INTERIM
TEMPS PARTIEL
TRANSINTER
TRIANGLE
TTT - TRAVAIL TEMPORAIRE TECHNIQUE
UNIVERSEL TT
VEDIORBIS
VERT L INTERIM
VIP INTERNATIONAL
WALTERS INTERIM
WISA TT
XL EMPLOI
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
L’Intérim, un marché en mutation
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Le monde du travail a subi d’importantes mutations en 2005, qui ont tout particulièrement touché le marché de l’intérim. Lois, acteurs, mentalités : la France a connu un bouleversement à tous les niveaux.
Le principal événement social de cette année 2005 a été la signature, le 18 janvier, de la loi de programmation pour la cohésion sociale, dite loi Borloo. Cette loi apporte de très importants changements au paysage de l’emploi. En effet, l’une de ses mesures-phares est de mettre fin au monopole de l’ANPE pour le placement des chercheurs d’emploi. En 2004, 509 682 offres de missions ont été confiées à l’ANPE, qui a pu en satisfaire 84 %. Restent donc 81 550 offres d’emploi non satisfaites...
La fin du monopole de l’ANPE s’accompagne donc de l’ouverture des entreprises de travail temporaire au placement. (CDD- CDI)
Ceci consacre leur rôle non seulement de piliers (elles sont le troisième employeur du pays), mais aussi de véritables locomotives de l’emploi : 6 300 agences réparties dans tout le pays apportent un dynamisme indiscutable à l’emploi.
La loi Borloo a pour objectif de dynamiser le service public de l’emploi et de réduire le nombre d’offres non satisfaites : deux tâches qui sont l’essence même des entreprises de travail temporaire.
Un nouveau cadre
Les entreprises de travail temporaire peuvent donc désormais intervenir sur le marché du placement dans deux cadres : soit en offrant directement leurs services aux entreprises pour pourvoir des postes en CDD ou en CDI, soit en prenant en charge le placement de chômeurs, financé par le service public de l’emploi ou les collectivités territoriales. Pour les demandeurs d’emploi, cette réforme présente un intérêt majeur, outre celui, évident, de réduire le nombre d’offres non satisfaites : il leur permet de n’avoir plus qu’un seul interlocuteur, pour le placement comme pour l’intérim. François Roux, délégué général du SETT (Syndicat des entreprises de travail temporaire), interviewé dans Média SETT a déclaré à ce sujet : « La capacité des ETT à fournir un service de proximité pour tous types de qualifications est une opportunité supplémentaire pour les candidats à l’emploi, notamment pour les populations d’ouvriers et d’employés ainsi que pour les personnes éloignées de l’emploi, qui ne constituent pas la cible traditionnelle des cabinets de recrutement. »
Cette délégation de placement va s’accompagner de la création de 300 Maisons de l’emploi regroupant tous les organismes du service public de l’emploi. Elles auront les missions suivantes : mutualiser les moyens de chacun des acteurs du service public de l’emploi, prévoir les besoins en main d’œuvre et accueillir et orienter les demandeurs d’emploi. Elles auront également pour mission l’insertion, l’orientation en formation, l’accompagnement des demandeurs d’emploi et des salariés et l’aide à la création d’entreprise. Les Maisons de l’emploi associent obligatoirement l’État, l’Agence nationale pour l’emploi, au moins une collectivité territoriale ou un établissement public de coopération intercommunale, ainsi que les entreprises de travail temporaire.
Deux nouvelles possibilités
(JPEG) Outre ces modifications, la loi Borloo apporte également deux changements aux conditions dans lesquelles une entreprise peut faire appel à un intérimaire.
Jusqu’alors, une entreprise pouvait faire appel à un intérimaire dans quatre cas : remplacement d’un salarié, accroissement temporaire d’activité ou emploi saisonnier.
À ceux-ci sont maintenant ajoutés les deux cas suivant : retour à l’emploi de personnes en difficulté et formation professionnelle fournie, soit par l’entreprise, soit par l’entreprise de travail temporaire.
Ces nouvelles mesures, en accordant plus de souplesse aux entreprises, devraient permettre de dynamiser l’emploi et également améliorer les conditions de recherche d’emploi des chômeurs. Ceci semble tout particulièrement d’actualité après le Non à l’Europe, qui a révélé une inquiétude très marquée des Français à l’ouverture des emplois aux pays de l’Est, le fameux « plombier polonais » restant dans toutes les mémoires.
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Remplacement d'un salarié absent, mission ponctuelle... L'intérim a gagné du terrain dans
la politique de recrutement des entreprises.
Les intérimaires représentent aujourd'hui 3,4%
de la population salariée. Une frange mineure certes, mais dont le rôle tend à devenir incontournable dans l'économie moderne.
Vers une augmentation des compétences
Fidélisation
Deuxième marché du travail temporaire au monde derrière les Etats-Unis, au coude à coude avec la Grande-Bretagne, la France se distingue par un grand nombre d'acteurs (plus de 850 entreprises pour un réseau d'environ 4 000 agences), même si les trois principaux (Adecco, Manpower et Vedior Bis) détiennent plus de 65 % du marché.
Le travail temporaire en France est sur la bonne pente. Pendant les deux premiers mois de cette année, l'activité a enregistré une hausse supérieure à 10 % par rapport à son niveau de l'année dernière à la même époque. Côté effectifs, 512 000 intérimaires étaient dénombrés fin janvier 2000, soit un taux d'évolution annuel de 17,8 %...
Les raisons d'une telle progression sont classiques : face à un besoin urgent en personnel de renfort ou de remplacement, le travail temporaire propose une solution immédiatement opérationnelle, en détachant dans l'entreprise, pour l'exacte durée nécessaire le personnel compétent qui fait momentanément défaut. Mais aujourd'hui, l'activité de ETT (Entreprises de travail temporaire) ne peut se réduire à cette notion de manque à combler : elle s'intègre désormais comme donnée essentielle de l'économie. Dans un contexte de croissance et de mondialisation, l'intérim répond en effet à besoin spécifique de flexibilité et de souplesse des entreprises utilisatrices. Celles-ci externalisent de plus en plus différentes fonctions autrefois logées en leur sein. Dans un premier temps, cette externalisation a concerné plus particulièrement la gestion du parc informatique, l'entretien des locaux, la restauration, le gardiennage... Or, elle gagne aujourd'hui le domaine des ressources humaines. D'après une enquête auprès des dirigeants d'entreprises un tiers d'entre eux envisagent d'externaliser tout ou partie de la gestion des ressources humaines dans les cinq ans à venir. Autre donnée fort éloquente : chez Manpower, numéro 2 mondial du travail temporaire, les missions recouvrant une importance stratégique pour l'entreprise cliente représentent la moitié du chiffre d'affaires. Soulignons également qu'à l'étranger, des opérations comme l'ouverture d'une usine, le recrutement ou la gestion du personnel sont d'ores et déjà confiées à des ETT.
Dans un tel contexte, la proportion d'intérimaires se voyant proposer un CDI à l'issue d'une mission va croissante... De nos jours, 30 % d'entre eux finissent par trouver un emploi définitif. La loi du 12 juillet 1990 régissant l'activité des entreprises de travail temporaire interdit certes de faire de la pré-embauche. Mais force est de constater que bon nombre de sociétés font appel à des agences d'intérim avec l'objectif sous-jacent de déceler les capacités de l'individu à long terme.
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Selon la loi et le code du travail, le salarié intérimaire a des droits, tout comme les autres salariés de l'entreprise pour laquelle il exécute sa mission.
Des droits individuels et collectifs
Sur le plan individuel, le salarié intérimaire a les mêmes droits que les salariés de l'entreprise utilisatrice s'agissant notamment de la rémunération, de la durée du travail et du travail de nuit
S'il est occupé à un poste présentant des risques particuliers pour la santé ou la sécurité, le salarié intérimaire doit bénéficier d'une formation, d'un accueil et d'informations adaptés.
Sur le plan collectif, le salarié intérimaire exerce ses droits dans l'entreprise de travail temporaire.
Pendant la durée de sa mission, il peut aussi se faire représenter par les délégués du personnel de l'entreprise utilisatrice, ceux-ci peuvent prendre connaissance des contrats de mise à disposition passés entre l'entreprise utilisatrice et l'agence d'intérim.
Des indemnités spécifiques
Au terme de chaque mission, le salarié perçoit :
sauf exceptions, une indemnité de fin de mission égale au moins à 10% de la rémunération totale brute durant le contrat ;
une indemnité compensatrice de congés payés, si le salarié n'a pu les prendre effectivement, égale à 10% de la rémunération totale brute versée au salarié, indemnité de fin de mission comprise.
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Le contrat de travail temporaire et les conditions
qui entourent l'embauche d'un intérimaire doivent répondre à une réglementation précise.
Ainsi, la loi prévoit les situations où une entreprise peut avoir recours à l'intérim et pose les règles
de protection des salariés.
Deux contrats écrits - Une durée précise et limitée
Deux contrats écrits
Le travail temporaire implique la conclusion de deux contrats :
- le contrat de mise à disposition : entre l'entreprise de travail temporaire et l'entreprise utilisatrice ;
- un contrat de mission : entre l'entreprise de travail temporaire et le salarié intérimaire.
Ces contrats doivent être écrits (à défaut, le salarié est considéré lié à l'entreprise utilisatrice par un contrat à durée indéterminée).
Les mentions obligatoires
- la raison précise pour laquelle l'employeur a recours au travail temporaire (elle doit correspondre à l'une des cinq situations où la loi l'autorise ; telle par exemple l'accroissement temporaire d'activité) ;
- le poste de travail occupé par le salarié intérimaire et la qualification professionnelle exigée par ce poste ;
- le nom et la qualification du salarié remplacé s'il s'agit du remplacement d'un salarié ;
- la date de fin de la mission ou l'événement qui marquera la fin de la mission (retour du salarié absent par exemple) ;
- la clause de renouvellement quand elle a été convenue avec le salarié ;
- le lieu et les horaires de travail.
Le contrat de mission doit aussi préciser :
- la qualification professionnelle du salarié intérimaire ;
- la rémunération et ses composantes (primes, accessoires de salaire) ;
- la durée de la période d'essai éventuellement prévue par convention ou accord collectif de branche étendu (à défaut, cette durée est limitée à 2, 3 ou 5 jours selon la durée prévue du contrat de mission)
Un exemplaire du contrat de mission est remis au salarié, au plus tard dans les deux jours qui suivent le premier jour de travail dans l'entreprise utilisatrice.
Une durée précise et limitée
Par définition, un contrat de mission est conclu pour une durée limitée, précisée au départ.
Il prend automatiquement fin :
- soit à la date fixée (le contrat de mission peut indiquer par exemple que le salarié sera mis à disposition de l'entreprise utilisatrice "du 1er Septembre au 12 Décembre") ; l'agence d'intérim peut, à la demande de l'entreprise utilisatrice, proposer au salarié avant la fin de sa mission de renouveler une fois son contrat ;
- soit lorsque survient l'événement (retour du salarié absent par exemple) ou l'achèvement des travaux qui ont justifié la mission.
Il ne peut être rompu avant son terme, sauf :
- accord entre l'agence d'intérim et le salarié ;
- faute grave de l'agence d'intérim, de l'entreprise utilisatrice ou du salarié ;
- force majeure.
En principe, la durée du contrat, renouvellement compris, ne peut excéder 18 mois, mais il existe des cas particuliers .
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Selon la loi et le code du travail, il existe cinq situations dans lesquels une entreprise peut avoir recours au travail temporaire.
Un contrat de travail temporaire ne peut, en aucun cas permettre de pourvoir durablement un emploi lié à l'activité normale et permanente d'une entreprise. Alors attention si on vous dit qu'il y a un contrat en CDI à la clef, c'est fort possible que ce soit pour la creation d'un poste ou le depart définitif de quelqu'un apres un conges maternité ou autre.
Si le contrat est conclu pour un motif non prévu par la loi, il sera considéré comme un contrat à durée indéterminée. Le motif est obligatoire sur votre contrat de travail lisez le bien.
Dans quels cas une entreprise peut faire appel à un travailleur temporaire ?
Si elle doit remplacer un salarié absent et dont la fonction nécessite un remplacement pour la bonne marche de l'entreprise (sauf s'il s'agit d'une grève).
Si elle doit pourvoir un poste dans l'attente de l'entrée d'un salarié recruté en contrat à durée indéterminée.
Si l'activité de l'entreprise l'oblige, dans le cas, par exemple, de l'accroissement temporaire de son activité et donc d'un accroissement temporaire d'une charge de travail ingérable pour les salariés en place. (c'est le motif le plus courant à ce jour)
Si l'entreprise nécessite, par son activité la création d'emplois à caractère saisonnier (agriculture, tourisme, hotellerie, restauration).
Emplois pour lesquels il est d'usage constant de ne pas recourir au contrat à durée indéterminée en raison de la nature de l'activité et du caractère temporaire de ces emplois (ainsi dans les professions du spectacle, un acteur peut être embauché pour la durée d'une pièce de théâtre). La liste des activités concernées est fixée par le Code du travail.
Cher(e) Internaute, faites attention au motif de votre contrat, bien sûre pour certains métiers comme le paramédicale, le contrat peut tarder à venir puisque se sont des missions demandées en urgence. Donc vous aurez le contrat uniquement après la mission, mais si c'est des missions à longues durées vous avez tout interet a demander votre contrat à votre agence de travail temporaire.
Publié le 07/02/2007 à 12:00 par Aurore
Cher(e) Internaute,
Je souhaite vous faire partager ma passion sur le domaine du travail temporaire. Domaine encore peu connu à mon sens.
Vous trouverez ici, toutes les informations ou presque sur le domaine Intérimaire.
N'hésitez pas à me laisser quelques messages pour approfondir mon Blog pour qu'il est plus de clareté et si une erreur s'est glissé, je vous pris de me pardonner et de me laisser un petit message, j'arrangerai le tout.
Voici une petite présentation de votre Bloggeur:
Prénom: Aurore
Age: 25 ans
Domaine d'activité : Coordinateur de Planning
Type de contrat de travail: Contrat de Travail Temporaire soit Intérimaire
Mon travail:
- Developpement de Fichiers Clients et Intérimaires
- Travail Administratif de l'Agence (contrat de travail, contrat de mise à disposition, Attestation Assedic, Certificat de travail, Accident de travail, Arret maladie ...)
- Gestion des Clients et des Intérimaires
- Ouverture d'une Agence avec création des outils d'exploitation